i fought the war but the war won

L'amertume est encore tapis dans l'ombre de mon estomac. Même si le hans est encore là derrière moi je ne peux pas m'empêcher de venir ici et de penser qu'hier j'étais à la limite de l'ulcère. J'avais imaginé mille et une fois que ça allait se passer à merveille, qu'on allait pas encore me décevoir et me faire pleurer dans un coin. Au fur et à mesure qu'on se rapprochait de chez J, le nombre de convives diminuait à une vitesse folle je ne contrôlait plus rien. A 20 ans mon monde s'effondrait encore. Toujours la même catégorie de personne qui me fout cette boule au ventre qui ne veut toujours pas foutre le camp. Hans était là c'était déjà quelquechose de fou, la voir dans le salon quand je me réveillais et je me disais que j'étais pas seule que des gens m'appréciait, on avait passé des moments de ceux qui font du bien pour ce début d'année. Mais ces absences ont ternies ce que j'avais déjà construit. Je ne sais plus quoi penser. Demain j'aurais de nouveau les pieds sur terre parce que je retourne dans ces lieux tant redoutés et puis Hans s'en va avec le shopping et les fous rires, les pouces levés et les souvenirs et tout le reste mais l'âge et les remords seront encore là. J'm'en fous Emily Haines et Metric reviennent, help i'm alive que vous pouvez trouver ici, mais live it out bon sang encore mieux chez rolling stones. Coûte que coûte je réussirais.