talk to me, dance with me

(the great escape - we are scientists), je marche pieds nus alors que je sors de la douche, le paquet vide d'arlequin ne cesse de faire ce bruit lorsque je bouge le bras gauche, instinctivement je pense au(x) moustique(s) qui m'a bouffé l'autre soir (oui je ne sais si ils étaient plusieurs ou pas vu le carnage qu'ils ou qu'elle ont/a fait sur mon corps surtout mes pieds). ( coming clean - we are scientists), je suis retournée dans mon lycée aujourd'hui pour de la paperrasse, je crois qu'ils avaient affichés nos résultats peut être nos notes mais c'est bête je n'ai pas pensé à regarder.

je n'arrive pas à oublier le peu de fois où il m'a prit dans ses bras (nobody move nobody get hurt - we are scientists), ses lèvres légèrement humides se posant sur ma joue, des moments un peu brusque quelques peu rapide et pourtant. je ne me souviens pas vraiment si il a une odeur, je me souviens des ses gestes, de son regard (gross out - the vines). son bras sur mon épaule, ma main qui descend un peu plus bas que ses hanches, il m'enlève ma capuche, on rigole se sont sans doute les effets de l'alcool, on marche dans la rue serré l'un contre l'autre, nous rions encore (anyone else but you - the moldy peaches), le pont puis il s'éloigne.

(pearl of the lake - the mondrians) le peu d'argent que j'avais m'aurait suffit à me retrouver à l'underage festival parce que l'année prochaine je serais déjà trop vieille mais non je ne savais pas que plus de la moitié avait disparu du moins je ne m'en étais pas rendu compte alors le peu d'espoir que je m'était fondé c'est effondré en l'espace de 2 secondes. ( william - the mondrians)

the dodoz (clique)

vincent vincent and the villains (clique toujours)

image : we are scientists